Partant de la constatation que la notion de droit liturgique est trop restreinte et fortement teintée de positivisme juridique, l’auteur privilégie la dimension juridique du sacré.
Cela permet de voir au delà des simples rubriques liturgiques et d’embrasser l’ensemble des relations juridiques qui s’établissent dans l’église, non seulement à propos de la célébration des sacrements, et des sacramentaux, mais aussi des temps sacrés et des lieux sacrés, de la bonne tenue de ceux-ci, ainsi que des ministres, des vases et des ornements liturgiques.
Et, plus profondément, tout l’ensemble des relations de droits et de devoirs qui naissent entre les fidèles dans ce vaste domaine, dominé par la sacramentalité de l’Église.
En,fin, l’auteur mentionne et commente en détail les nombreuses dispositions que le législateur canonique a prises en la matière depuis la parution des deux codes de droit canonique.
Chez Wilson et Lafleur, il est épuisé : La dimension juridique du sacré
Vous pouvez contacter l’auteur, qui en garde quelques exemplaires.