Editions L’Harmattan (29 janvier 2020). 226 pages
La société ecclésiale et la société civile sont au service des mêmes personnes. Il s’ensuit qu’elles ont à traiter parfois des mêmes matières, bien que sous des angles différents, l’Église catholique n’ayant aucun intérêt humain et étant guidée avant tout par le salut des âmes.
D’où la nécessité de parvenir à des accords diplomatiques entre le Saint-Siège, agissant au nom de l’Église, et les États, afin de définir d’abord le statut juridique de l’Église catholique, puis de façon précise la liberté religieuse, les compétences de l’Église dans les différents domaines dans lesquels elle est amenée à intervenir : son organisation propre, sa fonction d’enseignement, sa liberté de communication et d’expression et l’accès aux moyens de communication sociale, ses œuvres d’éducation, d’assistance, les effets civils du mariage canonique, le respect du secret de la confession, le domaine financier, etc.
Outre l’aspect historique et la détermination de grands principes, cette étude réserve des surprises intéressantes.
Pour acheter le livre : La politique concordataire du Saint-Siège.