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Nous verrons : 1. La nature du sacrement de l’onction des malades 2. La nature du sacrement de l’onction des malades (suite) 3. L’institution du sacrement de l’onction des malades 4. La matière et la forme du sacrement de l’onction des malades 5. Le ministre et le sujet de l’onction des malades 6. (...)
« Par sa passion et sa mort sur la Croix, le Christ a donné un sens nouveau à la souffrance : elle peut désormais nous configurer à Lui et nous unir à sa passion rédemptrice » (Catéchisme de l’Église catholique, n° 1505). « Le Christ invite ses disciples à Le suivre en prenant à leur tour leur Croix (cf. (...)
« L’Église apostolique connaît cependant un rite propre en faveur des malades, attesté par saint Jacques : « Quelqu’un parmi vous est malade ? Qu’il appelle les presbytres de l’Église et qu’ils prient sur lui, après l’avoir oint d’huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient, et le (...)
4. La matière et la forme de l’onction des malades « Le sacrement de l’onction des malades est conféré aux personnes dangereusement malades en les oignant sur le front et sur les mains avec de l’huile dûment bénie — huile d’olive ou autre huile extraite de plantes — en disant une seule fois : « Par cette (...)
5. Le ministre et le sujet de l’onction des malades Le ministre de ce sacrement est uniquement le prêtre (évêque ou prêtre). « C’est le devoir des pasteurs d’instruire les fidèles des bienfaits de ce sacrement. Que les fidèles encouragent les malades à faire appel au prêtre pour recevoir ce sacrement. (...)
Même si l’onction des malades n’est pas nécessaire d’une nécessité de moyen pour le salut, il ne faut pas la rejeter volontairement, s’il est possible de la recevoir, car cela reviendrait à refuser une aide d’une grande efficacité pour le salut. Priver un malade de cette aide pourrait même constituer un (...)
Le premier effet du sacrement est l’augmentation de la grâce sanctifiante : comme tout sacrement des vivants, il produit dans l’âme une augmentation de la grâce. C’est une « grâce de réconfort, de paix et de courage pour vaincre les difficultés propres à l’état de maladie grave ou à la fragilité de la (...)
Le mot « viatique » vient du latin viaticum, « provisions de voyage ». C’est le nom donné à l’Eucharistie portée à un malade en danger de mort, si possible alors qu’il possède encore toutes ses facultés mentales, ce qui lui permet de se confesser d’abord s’il en a besoin. Le Viatique est le dernier (...)